La grâce de l’inutile
Temps d’été : temps de repos, de découverte, ou de travail, c’est selon. Mais quoi qu’il arrive, temps lié aux vacances, à quelque chose d’autre, de vacant, de libre.
Me trotte dans la tête ces lignes du frère Thomas Merton : « Pourquoi ne sommes-nous pas heureux ? A cause de notre servilité – parce que nous sommes inféodés au faire, à la rentabilité. Tout est vide parce que c’est utile. Nous n’avons pas encore redécouvert l’utilité primordiale de ce qui n’est pas utile » [1] . Lire la suite